Un jour, Daniel décide d’aller faire fortune. Il part un beau matin avec sa voiture et ma… ma… ma… ma… tout à coup, rencontre un bœu[f].

« Où tu t’en vas don[c] mon Daniel ? »

« Je m’en vas faire fortune. »

« Veux-tu m’emmener ? »

« Oui, t’à l’heure, embarque dans ma voiture »

 

Le bœu[f] saute dans la voiture. Continue son chemin, ma… ma… ma… ma… tout à coup, rencontre un cochon.

« Où tu t’en vas don[c] mon Daniel ? »

« Je m’en vas faire fortune. »

« Veux-tu m’emmener ? »

« Oui, t’à l’heure, embarque dans ma voiture »

 

Le cochon saute dans la voiture. Continue son chemin, ma… ma… ma… ma… tout à coup, rencontre un chien.

« Où tu t’en vas don[c] Daniel ? »

« Je m’en vas faire fortune. »

« Veux-tu m’emmener ? »

« Oui, t’à l’heure, embarque dans ma voiture »

 

Le chien saute dans la voiture. Continue son chemin, ma… ma… ma… ma… tout à coup, rencontre un chat.

« Où tu t’en vas don[c] Daniel ? »

« Je m’en vas faire fortune. »

« Veux-tu m’emmener ? »

« Oui, t’à l’heure, embarque dans ma voiture »

 

Le chat saute dans la voiture. Continue son chemin, ma… ma… ma… ma… tout à coup, rencontre un coq.

« Où tu t’en vas don[c] Daniel ? »

« Je m’en vas faire fortune. »

« Veux-tu m’emmener ? »

« Oui, t’à l’heure, embarque dans ma voiture »

 

Le coq saute dans la voiture.

 

La voiture était pleine et Daniel ben fatigué décide de retourner chez lui pour se reposer.

 

Arrivé chez lui, il met le bœu[f] dans la barrière, le cochon dans le clos, le chien à la porte, le chat à la cheminée et le coq dans l’arbre, et lui, va se coucher.

 

Dans le courant de la nuit, un voleur s’amène pour lui voler sa fortune. Arrivé à la barrière, le bœu[f]corne, corne, corne, le voleur réussit à passer. Continue dans le clos ; le cochon l’attendait, pince, pince, pince, le voleur réussit à s’enfuir. Arrivé à la porte de la maison, le chien mord, mord, mord.

Attrape la poignée de porte et réussit à rentrer dans la maison. Arrivé à la cheminée, le chat griffe, griffe, griffe.

 

Là, le voleur en avait vraiment assez ; s’en fuit en courant.

 

Le coq qui était dans l’arbre criait : « Ramenez-moé-le, ramenez-moé-le. »

 

Transcription d’un manuscrit de Mme Agathe Brien. Version d’Agathe Brien, 66 ans, Sainte-Marie-Salomé, Lanaudière, Québec, 2014. Conte appris de son grand-père Octave Brien (1869-1955). M. Brien contait des contes, des histoires et chantait des chansons à ses petits-enfants à tous les soirs. Il demeurait chez son fils Marc. Agathe Brien affirme que c’est exactement la même version que son grand-père. Elle l’a conté à ses enfants, de l’âge de deux à trois ans jusqu’à être en âge d’aller à l’école.

Source : Conte recueilli par Philippe Jetté dans le cadre du projet « Sur les traces des contes et légendes de Lanaudière » de la Maison des contes et légendes de Lavaltrie.

Le Centre régional d’animation du patrimoine oral de Lanaudière (CRAPO) a dévoilé vendredi dernier un important projet de mise en valeur de la Pratique de la chanson traditionnelle dans le nord de Lanaudière. Le projet comprend une fiche mettant en lumière cette pratique et sept fiches sur des chanteurs et chanteuses porteurs(euses) de cette forme d’expression culturelle significative pour les Lanaudois, soit Yves Marion, Daniel Perron, Jean-Claude Martial, Marielle Aumont, Clémence Gagné, Anthime Beauséjour et Claire Durand. Le CRAPO a mis à l’honneur des enregistrements réalisés par Éric Beaudry et Michel Bordeleau en 2004 et 2006 auprès de quatre chanteurs.

Philippe Jetté a collaboré à cette initiative à titre de collecteur et de rédacteur. C’est lui qui a rédigé la fiche principale du projet ainsi que celles sur Yves Marion, Daniel Perron et Jean-Claude Martial, en plus d’avoir réalisé des entrevues auprès de ces derniers. Au total, 70 chansons sont maintenant disponibles sur le Répertoire du patrimoine culturel du Québec grâce à l’initiative du CRAPO.

Consultez le projet en cliquant ICI.

 

Je vous présente quelques expressions entendues de mes proches ou notées lors de rencontres avec des porteurs de traditions en Nouvelle-Acadie dans Lanaudière.

Expressions de la Nouvelle-Acadie

  • Une jument ben attelée, ça vaut ben un étalon (Inf. Block Mireault, 49 ans, Ste-Marie-Salomé, 2010) : en parlant de sa femme qui travaillait fort.
  • C’est l’ yâbe qui bat sa femme pour avoir des crêpes : Quand le tonnerre tonne sans pluie (Inf. Patricia Pauzé, Saint-Jacques, 37 ans, 2010).
  • Graffigner dans l’brancard : Ça devait choquer, révolter le monde. Ex. : Wilfrid Gaudet mangeait du steak parce qu’il avait des problèmes de santé. Les autres d’vaient graffigner dans l’brancard. (Inf : Gisèle Ricard (petite-fille de W. Gaudet), Grand rang, St-Jacques, 2010).
  • Chi l’bœuf, on va mettre d’la paille : expression dite à une personne ayant lâchée un pet. Entendue de son oncle Florent Jetté (Inf. Normand Jetté, 63 ans, St-Jacques, 10/12/2010).
  • Le soleil se couche d[ans] un banc : Se dit lorsque le soleil se couche derrière (dans) les nuages. Cela veut dire qu’il mouillera ou qu’il ne fera pas beau le lendemain. (Ginette Brisson, 59 ans, 19 juin 2011. Apprise de ses parents.)
  • T’es noir comme le d’ssus du poêle : Se dit d’une personne qui a le visage barbouillé noir. (Normand Jetté, 63 ans, 19 juin 2011)
  • Il fait noir comme su l’ loup : Se dit la nuit tombé lorsqu’il n’y a ni lune ni étoile. (Rosaire et Normand Jetté, 86 et 63 ans)
  • Les yeux d’une chatte qui pisse dans le son : Une fille qui a les yeux cochons. (Inf. : un homme demeurant à L’Assomption que mes parents ont rencontré à Montréal le 6 janvier 2010. Il avait appris cette expression de son ex-femme de St-Liguori.)
  • I[ls] jappent après la lune : Les gars de Crabtree disait ça en parlant du monde de Ste-Marie, en voulant dire que c’est loin. (Inf. Michel Landry, 59 ans, Crabtree, 01/01/2011)
  • Le vent d’nord, qui vienne du bord qui voudra, yé toujours frette. (Inf. Maurice Mireault, apprise de Alphonse Richard)
  • En y l’vant l’cul : Clérinda Jetté (sœur de Léonidas) disait ça en levant son verre de whisky. (Inf. : Normand Jetté)
  • Oh ! Le plafond est bas, il va mouiller : Quand le ciel devient noir et que l’orage s’en vient. (Inf. : Mélanie Boucher, 41 ans, 2020-02-02)
  • Les oreilles en porte de grange : Quelqu’un ayant des grandes oreilles. (Inf. : Mélanie Boucher, 41 ans, 2020-02-02)
  • Fais pas ton Thomas : Quelqu’un qui croit rien. (Inf. : Mélanie Boucher, 41 ans, 2020-02-02)

Partagez-moi vos meilleurs expressions ! Et leurs significations.

Philippe Jetté initie de jeunes immigrants en francisation (au primaire et au secondaire) à nos traditions orales depuis quelques années.

Il a offert, la semaine dernière, six ateliers aux jeunes du programme Vire-Vent (maternelle à 6e année) de la Commission scolaire des Affluents à Repentigny et à Terrebonne. Les jeunes ont appris ce qu’est une tradition, comment on la garde vivante, en plus d’apprendre plusieurs chansons mimées et dansées et à taper du pieds (pour les plus vieux).

Une classe l’a accueilli en chantant « Pierrot n’a pas de chapeau », une chanson apprise de M. Réal Lapalme de Saint-Jacques, qu’ils avaient appris en l’écoutant seulement trois fois avant son arrivé. Philippe leur avait envoyé les paroles et les audio pour que les enseignants puissent leur apprendre les mots de vocabulaire en lien avec les chansons transmises et que chaque classe puisse les garder comme aide-mémoire.

Et d’après-vous, comment garde-t-on une tradition vivante ?

Philippe Jetté est aussi membre du programme et du Répertoire Culture-Éducation (Artiste à l’école) du ministère de la Culture. Consulter la section Ateliers jeune public.

Atelier de transmission au programme Vire-Vent de la Commission scolaire des Affluents pour les élèves en francisation.

 

L’émission Le Tricheur de TVA, animée par Guy Jodoin, a reçu Philippe Jetté pour la dernière émission de l’année, le 20 décembre 2019. Philippe a fait deux apparitions surprises, une à l’accordéon et l’autre aux cuillères. Les questions du tricheur étaient en liens avec ces deux instruments de musique traditionnelle québécoise.

Philipp Jetté a eu la chance de jouer pour Véronique Claveau, Sonia Vachon, Fabien Cloutier, Marc Hervieux et Pierre Brassard, les invités de la semaine du Tricheur.

La question du jour du Tricheur, sur sa page Facebook, cherchait à connaître le nom de l’accordéoniste. Cette publication a généré 1 400 commentaires, 378 mentions J’aime et 40 partages. L’émission a offert une belle visibilité à Philippe grâce à cette question et à quelques mentions en ondes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voyez un extrait du passage de Philippe Jetté à l’émission Le Tricheur sur les ondes de TVA.

 

Trois cultures et trois traditions culinaires se sont rencontrées le temps d’un atelier de partage et de transmission de pain banique atikamekw, de galette de sarrasin québécoise et d’arepas colombien. Cet événement s’est déroulé le mercredi 23 octobre 2019 au Pavillon de la rivière dans le cadre du projet « Joliette, au cœur des traditions » de la Ville de Joliette, en partenariat avec le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière et le CRÉDIL.

Des citoyens joliettains ont partagé des recettes traditionnelles et la culture de leur milieu d’origine ainsi que des trucs pour bien les réussir. Les participants ont même fait leur propre banique!

Minic Petiquay, du Centre d’amitié, a transmis la banique apprise de sa mère, de sa grand-mère et d’aînés de Manawan. Yolande Desmarais a partagé la recette de galette de sarrasin de sa tante Bibiane. Finalement, Elisabeth Marino et Pablo Emilio Vergara, accompagnés de Laura Vergara du CRÉDIL, ont démontré deux recettes d’arepas provenant de deux régions différentes de la Colombie.

Recettes, photos et vidéos

Expérimentez les recettes et partagez-moi vos commentaires !

Photos de l’atelier

La recette de la fricassée du lundi a été partagée par Christiane Robidoux aux participants des Ateliers de transmission de savoir-faire de la Ville de Joliette dans le cadre du projet « Joliette, au coeur des traditions », en collaboration avec Philippe JettéL’atelier s’est tenu le mercredi 9 octobre 2019 au Pavillon de la rivière de Joliette. Mme Robidoux tient cette recette de sa mère qui faisait de la fricassée le lundi avec les restants de la fin de semaine.

Et vous, quelle est votre version familiale de la fricassée ? Partagez-moi vos recettes ! Votre recette pourrait être mise à l’honneur !

Recette : Fricassée du lundi[1]

Recette pour huit personnes.

Ingrédients[2]

  • 4 tasses de cubes de restants de viande cuite (bœuf, porc, poulet, dinde, selon ce qui est disponible).
  • 4 c. à soupe d’huile végétale (pour la cuisson : 2 fois 2 c. à soupe).
  • 1 c. à thé de vinaigre de cidre.
  • ¼ de tasse de farine de blé.
  • 2 oignons moyens.
  • 1 gousse d’ail émincée.
  • 4 carottes moyennes grattées.
  • 8 pommes de terre moyennes épluchées ou grattées si ce sont des patates nouvelles.
  • 1 rutabaga (navet jaune) épluché.
  • 4 branches de céleri avec un peu de feuilles.
  • Fines herbes (1 c. à thé de sauge, de marjolaine et de thym ainsi qu’une feuille de laurier).
  • 2 c. à soupe d’épaississant à sauce (Bisto) ou 2 c. à soupe de farine mélangée à 1 c. à soupe de beurre.
  • 1 litre de bouillon de légumes ou de poulet.
  • Sel et poivre.

Accessoires

  • 1 grand poêlon.
  • 1 faitout avec un couvercle.
  • 1 planche à découper.
  • 1 couteau.
  • 1 cuillère de bois.
  • 1 cuillère à soupe.
  • 1 cuillère à thé.
  • 1 tasse à mesurer.

Directives

  1. Couper tous les légumes et les viandes (4 tasses) déjà cuites en cubes ou morceaux d’environ 2 cm.
  2. Faire chauffer, dans un poêlon, 2 c. à soupe d’huile et y faire dorer les cubes de viande sur feu moyen en brassant sans cesse pour que la viande ne colle pas au fond du poêlon.
  3. Saupoudrer d’un quart de tasse de farine de blé, ajouter sel et poivre, et brasser pour bien enrober les morceaux de viande.
  4. Verser, lorsque le tout est bruni (y compris le fond du poêlon!), la moitié du bouillon (500 ml) et 1 c. à thé de vinaigre de cidre dans le poêlon.
  5. Gratter le fond pour tout déglacer.
  6. Laisser mijoter trois minutes et retirer du feu.
  1. Émincer une gousse d’ail et deux oignons moyens.
  2. Faire chauffer, dans un faitout, 2 c. à soupe d’huile et y faire dorer à feu doux les oignons et l’ail émincé.
  3. Ajouter tous les légumes coupés en cubes et brasser pour enrober les légumes du mélange d’oignons, d’ail et d’huile.
  4. Cuire sur feu moyen en brassant sans cesse pendant 5 minutes.
  5. Émincer la sauge, le thym, la marjolaine.
  6. Ajouter les fines herbes (sauge, thym, marjolaine et la feuille de laurier entière).
  7. Brasser pour bien les répartir parmi les autres ingrédients. Les sucs de légumes doivent brunir légèrement au fond du faitout.
  8. Verser la deuxième moitié du bouillon (500 ml).
  9. Ajouter, par petits morceaux, le mélange de 2 c. à soupe de farine mélangée à 1 c. à soupe de beurre ou 2 c. à soupe de Bisto délayé dans l’eau et bien mélanger.
  10. Ajouter le mélange de viande et bien mélanger dans le faitout.
  11. Ajouter de l’eau pour avoir assez de liquide afin de couvrir le tout.
  12. Rajouter le sel et le poivre au goût.
  13. Couvrir et laisser mijoter sur feu doux pendant 30 à 40 minutes ou jusqu’à ce que les rutabagas soient tendres. Ce légume est le plus long à cuire.
  14. Servir le tout dans une assiette creuse avec une belle tranche de pain de ménage beurrée pour bien essuyer le fond de l’assiette.

[1] Recette de Christiane Robidoux. Sa mère faisait de la fricassée le lundi avec les restants de la fin de semaine.

[2] Tous les produits utilisés, dans le cadre de l’atelier, proviennent du marché d’alimentation écoresponsable À saveur locale, point de vente de fermes lanaudoises certifiées biologiques ou respectueuses de la santé de la terre.

L’atelier en photos

Sauts interculturels – Rencontre autour de la marelle, la corde à danser et l’élastique

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Suite au dévoilement de vos traditions coup de cœur, voici nos cinq ateliers de transmission de savoir-faire. Présentés dans le cadre de l’entente de développement culturel entre la Ville de Joliette et le ministère de la Culture et des Communications, ces rencontres ont pour but d’échanger et de transmettre nos traditions pour les faire vivre, les faire perdurer dans le temps.

2 octobre – Sauts interculturels ! Rencontre autour de la marelle, la corde à danser et l’élastique.

Les citoyens sont invités à faire quelques sauts interculturels le temps d’une rencontre de partage et de jeux universels avec des Joliettains d’origine africaine et atikamekw. Les participants apprendront et partageront leurs jeux de marelles, de corde à danser et d’élastique. Les souvenirs d’enfance jailliront et permettront de tisser des liens. L’atelier est en partenariat avec le CRÉDIL et le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière. Venez partagez vos jeux et vous amusez !

Bienvenue à toutes les générations !

9 octobre – Dégustez votre fricassée [mets à base de viande]

Que diriez-vous d’éviter le gaspillage ? La récupération alimentaire ne date pas d’hier. La fricassée est un mets traditionnel cuisiné à partir de restants de viandes. Il suffit de faire revenir des oignons, ajouter de la viande, des patates coupées en dés, du bouillon, des assaisonnements et des légumes, si vous le désirez. Laissez mijoter et servez !

Christiane Robidoux sera votre hôte pour la soirée. Elle vous transmettra sa recette et vous fera participer aux différentes étapes de la préparation. Venez dégustez votre fricassée !

Svp, apportez quelque chose à vous mettre sur la tête afin d’éviter de cuisiner une fricassée aux cheveux ! Merci.

Bienvenue à toutes les générations !

16 octobre – Jeux de billes et jeux de mains [partage collectif]

Les jeux de main, tels que « Michel, je t’abandonne », sont populaires depuis belle lurette et les jeux de billes ont eu la cote auprès de plusieurs générations, et ce, depuis la Grèce antique. La Ville de Joliette vous invite à un partage collectif de vos jeux de billes (smokes) et de vos jeux de mains. Ainsi, votre voisin de quartier et vous-même serez enrichis de nouveaux jeux à partager avec vos amis, vos enfants ou vos petits-enfants.

Le plaisir, le jeu, le partage et les fous rires seront au rendez-vous ! Serez-vous de la partie ?

Bienvenue à toutes les générations !

23 octobre – Cuisinons du pain colombien, atikamekw et de la galette québécoise

Participez à un partage interculturel unique ! Venez cuisiner et savourer du pain banique atikamekw, des arepas colombien et de la galette de sarrasin, une tradition bien de chez nous ! Trois cultures se rencontreront le temps de cet atelier délectable.

En partenariat avec le CRÉDIL et le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière.

30 octobre – Fêtes et rituels [échange collectif]

Les fêtes et les rituels accompagnent le quotidien des gens depuis des millénaires. Vous avez tous fêter et pris part à des rituels saisonniers ! Venez découvrir l’origine de certaines traditions et contribuer à un échange collectif sur les façons de célébrer la richesse de nos quatre saisons. Ainsi, seront mis à l’honneur les traditions du jour de l’An, du jardinage, de la Saint-Jean-Baptiste, des épluchettes de blé-d‘Inde et de la Sainte-Catherine. Ces fêtes sont aussi riches en rituels (ex. : souhaits de la bonne année, feu de la Saint-Jean, semer à la fête de la Reine). La participation d’Atikamekws permettra de constater les différences et les similitudes entre nos deux cultures.

Souvenirs et plaisir garantis !

En partenariat avec le Centre d’amitié autochtone de Lanaudière.

Tous ces ateliers seront animés par Philippe Jetté et présentés au Pavillon de la rivière (102, rue Fabre) gratuitement. Faites vite, les places sont limitées!

Pour vous inscrire, contactez le service des Loisirs et de la culture au 450 753-8050.